L'iceberg, le boulanger et l'alligator [Épisode 4 : Après le naufrage]

Cette terrible tragédie eut des répercutions positives : toutes les compagnies augmentèrent le nombre de canots de sauvetage afin que la totalité des personnes à bord, si les conditions le permettent, puisse être évacuée, les compagnies maritimes furent obligées d’avoir deux opérateurs radio qui se relayaient afin d’avoir toujours au moins un homme à l’écoute et, le 20 janvier 1914, la Patrouille internationale des glaces fut créée afin de circuler dans l’Atlantique nord et d’alerter les navires y croisant (depuis leur création, les navires qui ont suivi leurs avertissements n’ont eu à déplorer aucune collision avec un iceberg – aujourd’hui, les patrouilles se font principalement par avion, mais aussi par satellites et les treize nations qui participèrent à sa création sont maintenant dix-sept). Chaque année, le 15 avril, un des avions de la Patrouille internationale des glaces va larguer là où repose l’arrière du Titanic une couronne de fleurs dont le ruban mortuaire porte l’inscription « Always lost, never forgotten » (Perdus à jamais, jamais oubliés).

 

À peine un mois après le naufrage, le 14 mai 1912, l’actrice Dorothy Gibson (1889-1946), une des survivantes de 1ère classe, sortit le film Saved from the Titanic [1] (Rescapée du Titanic [notre traduction]). Ce court-métrage muet d’une seule bobine (moins de dix minutes de film) raconte l’histoire de Dorothy, une jeune fille qui a survécu au naufrage et qui raconte à sa famille ce qui lui est arrivé ; ses fiançailles sont compromises car elle devrait épouser un marin et le danger de sa profession pose désormais problème au père de Dorothy, mais il finit par donner son consentement. Dans le film, Dorothy a la dernière place dans le dernier canot, mais Miss Gibson fut en réalité la première passagère dans le premier canot. Il ne reste aujourd’hui que quelques photos promotionnelles du film dont on pense que toutes les copies brûlèrent lors de l’incendie des studios de production le 19 mars 1914.

Ce travail fut le tout premier d’une longue série de films, séries, livres et documentaires.

 

Les médias nous racontent que ce fut grâce au travail du Dr Robert Ballard que l’épave du Titanic fut localisée le 1er septembre 1985, mais une lettre ouverte du regretté Paul-Henri – souvent appelé « PH » par les Anglo-Saxons – Nargeolet (2 mars 1946-18 juin 2023) remet quelques pendules à l’heure[2].

Le navire repose à quelques 3 800 mètres de profondeur et il n’aurait jamais été localisé si une sorte d’accord n’avait été passé avec la marine américaine (l’expédition devait retrouver pour eux deux sous-marins perdus en échange de l’autorisation de se servir de leur matériel une fois la mission accomplie et l’épave fut découverte presque à la fin du temps imparti). L’implication de la marine américaine resta classée « secret défense » jusqu’en 2008. Incidemment, en 1977, le navire océanographique de la Royal Navy, l’Hecate, avait remarqué l’épave en deux morceaux d’un grand navire dans le secteur et l’expédition de 1985 était en possession de cette information.

Certains commençaient à penser que le Titanic avait été complètement détruit, comme l’avaient été tous les câbles sous-marins, lors d’une terrible tempête en 1929.

Pour la totalité de sa mission, Ballard travailla avec l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (IFREMER). Leur mission commença en juillet 1985 et, dès le 28 juillet, les sous-marins étaient localisés et l’expédition pouvait chercher le Titanic, ce qui fut fait avec l’Argo, sous-marin capable de filmer à de telles profondeurs.

Alors que le navire océanographique de Ballard avait navigué au dessus de l’épave sans l’identifier, dans la nuit du 31 août au 1er septembre, la proue fut localisée par l’océanographe Jean-Louis Michel de l’IFREMER. À 2h20, l’ensemble de l’équipage se recueillit sur le pont. Cette expédition prit fin le 9 septembre.

La découverte de la proue prouva que ceux qui avaient vu le navire se briser avaient raison (on peut lire dans certains récits que Ballard s’est servi du témoignage de Jack Thayer afin de localiser l’épave qui se trouve à des kilomètres de l’endroit où on pensait qu’il avait coulé, mais c’est sans doute encore une des histoires liées au Titanic).

La cartographie du site laisse à penser que le navire se brisa en trois.

Les débris sont répartis sur une zone de près de 3 km2. Coulé plus au nord, le navire ne serait qu’à environ 300 mètres de profondeur, mais coulé plus au sud, il aurait pu reposer à 5 000 mètres.

L’examen de la coque nous apprit que l’iceberg n’avait pas éventré l’avant, mais qu’il avait réussi à faire sauter les rivets, ce qui avait ouvert une petites brèche, mais sur une longueur trop grande pour que le navire puisse y survivre.

Les corps[3] et la plupart des tissus ont été dévorés par les créatures marines, mais l’acier disparaît lentement (il semblerait que des bactéries, baptisées halomonas titanicæ, fassent leur ordinaire de la coque du navire qu’elles pourraient bien finir de dévorer d’ici 2030 – et les scientifiques craignent qu’elles n’aient pris goût à l’acier et migrent vers d’autres sources de nourriture, ce qui pourrait être terrible pour bon nombre de structures sous-marines). Le bois qui manque à bord a sans doute été brisé dans le naufrage car certaines pièces sont toujours intactes dans la carcasse du navire. On trouve du charbon, des bijoux, de la vaisselle et, chose plus surprenante, du cuir, ce qui s’explique par les traitements chimiques subis par les peaux. Il y a donc des chaussures, des portefeuilles et des sacs, sacs qui ont parfois protégé des trésors.

 

Une plaque commémorative fut laissée sur le site par Ballard en 1985, mais, considérant le site comme un cimetière, il ne remonta aucun objet à la surface (allez cependant lire ce que le commandant Nargeolet avait à dire au sujet du manque d’éthique archéologique), ce qui déclencha une bataille internationale afin de déterminer qui aurait le droit de plonger sur le site.

On peut comprendre que certains veuillent traiter cette zone comme un cimetière ou une terre sacrée, mais étudier la zone contribue à garder les victimes dans la mémoire collective de l’humanité. Un autre problème est peut-être que la tragédie est récente (en Histoire, 1912, c’est hier matin) et que certains survivants qui nous ont quittés récemment devaient voir ce site comme l’ultime demeure de leurs parents (les parents de certains millionnaires disparus voulaient financer des opérations afin de récupérer les corps, ce qui aurait été impossible à l’époque et Eva Hart s’opposa toujours aux expéditions de récupérations). C’est pourtant de l’Histoire maritime ; ce qui est récupéré est traité avec le plus grand respect et on est à des années lumières de pratiques telles que celles d’Howard Carter (si vous ne savez pas déjà comment il maltraita la momie de Toutankhamon, allez lire un récit sur le sujet – mais préparez-vous à bouillir de colère).

En 1986, Ballard retourna sur le site, mais sans l’IFREMER (d’après le commandant Nargeolet, Ballard était d’accord pour partager le crédit des photos prises en 85 avec l’IFREMER, mais il les vendit aux médias le jour même de la découverte). Ballard laissa une plaque à l’avant et une à l’arrière ; dans sa lettre ouverte, le commandant Nargeolet rappela que, lors de cette expédition, le coffre-fort de 3ème classe fut secoué par sa poignée (Ballard déclara que le fond du coffre manquait et que le coffre ne contenait rien, mais comment en être certain ?).

Les premières expéditions eurent lieu du 22 juillet au 11 septembre 1987 avec la compagnie Titanic Ventures, Inc., qui aujourd’hui s’appelle RMS Titanic, Inc. et qui a de nombreuses équipes qui récupèrent, préservent et exposent les objets récupérés sur le site du naufrage. George Tulloch (1944-2004) était le premier président de cette compagnie. Cette expédition se fit en collaboration avec l’IFREMER ; de nombreuses photos furent prises et environ 800 objets furent remontés. Le commandant Nargeolet faisait déjà partie de l’aventure.

Paul-Henri Nargeolet (Photo AFP)

En 1993, la France donna officiellement les droits à RMS Titanic, Inc. sur les objets récupérés en 87.

Le 7 juin 1994, RMS Titanic, Inc. reçut d’un tribunal américain le droit de récupérer des objets sur le site du naufrage ; cette décision fut confirmée en 1996. En 2006, une autre cour américaine leur confirma la propriété des objets récupérés en 1987, selon la décision de la France.

En 1994, celle qui avait été la plus jeune survivante du Titanic, Eliza Gladys Millvina Dean (2 février 1912-31 mai 2009), fut l’invitée d’honneur d’une exposition où furent présentés certains des objets qui avaient été remontés. Ce fut cette année-là qu’un journaliste du Times de Londres (n’oublions pas que ce journal fait partie depuis 1981 de l’empire de Rupert Murdoch, l’homme à qui l’on doit Fox News et une brochette d’infâmes feuilles de choux dirigées par des rédacteurs aux pratiques parfois peu scrupuleuses) compara les expéditions à des pilleurs de tombes. Quelqu’un aurait peut-être pu donner à ce journaliste la définition d’archéologie (combien de momies de sont plus dans leurs tombes ? et encore plus récemment, les restes de Joachim du Bellay ont été retrouvés sous les dalles de Notre-Dame de Paris lors des fouilles et le sort du poète va être déterminé par le Ministère de la Culture) et quelqu’un aurait pu rappeler à ce journaliste qu’en 1993, Tulloch avait transmis à Edith Eileen Brown (27 octobre 1896-20 janvier 1997), alors âgée de quatre-vingt-dix-sept ans, la montre de son père, Thomas, décédé dans le naufrage, qui avait été retrouvée lors de la première expédition de 1987. Tulloch se défendit en déclarant que ceux qui avaient salis la réputation du capitaine Smith, qui ne pouvait plus se défendre, et celle du capitaine Lord, qui n’aurait rien pu faire et n’a jamais été cru, étaient ceux qu’il fallait critiquer, pas lui qui souhaitait garder vivante l’histoire des passagers et de l’équipage du Titanic[4].

Il y a régulièrement des expéditions afin de constater les dégâts sur l’épave et, en archéologie marine, de récupérer un maximum d’objets afin de les conserver le plus longtemps possible. RMS Titanic, Inc. a organisé des expéditions en 1987, 1993, 1994, 1996, 1998, 2000, 2004, 2010 et 2024.

En 2006, John Joslyn ouvrit le Titanic Museum Attraction à Branson dans le Missouri et il en a un autre à Pigeon Forge dans le Tennessee. En parlant de musées, il y a aussi un « espace Titanic » à la Cité de la mer à Cherbourg-en-Cotentin (la ville a changé de nom en 2016), un musée à Belfast et un à Cobh (comme s’appelle aujourd’hui le port de Queenstown qui fut la dernière escale du Titanic) et de nombreux musées maritimes à travers le monde ont des salles consacrées au Titanic.

En 2020, une expédition indépendante a filmé l’épave en haute définition, ce qui a permis de réaliser une modélisation photogrammétrique.

Le 18 juin 2023, le sous-marin Titan, de la compagnie OceanGate, qui devait récolter des données et amener des touristes sur le site, implosa ; le commandant Nargeolet était à bord.

Cette année, RMS Titanic, Inc. a pris de nouveaux clichés, a continué la cartographie du site et a localisé la Diane de Versailles.

La National Oceanographic and Atmospheric Administration (NOAA) fut chargée par les États-Unis qui sont en charge de la protection de l’épave de veiller sur elle ; la NOAA collabore avec la RMS Titanic, Inc. dans sa mission de conservation.

La RMS Titanic, Inc. organise aujourd’hui plusieurs expositions : Orlando et Las Vegas sont des sites permanents, mais l’exposition itinérante se trouvera sous peu à Boston et à Lausanne, puis à Ludwigsbourg en 2025, faisant ainsi partager, selon le désir de George Tulloch, l’histoire du Titanic au plus grand nombre.

Les objets présentés sont tous authentiques et après avoir passé des décennies à près de 4 km sous la surface, ils ont tous besoin de la science des équipes auxquelles ils sont confiés.

Lors de la conférence du 3 avril 2024 au SITEM, donnée par la présidente actuelle de la RMS Titanic, Inc., Mme Jessica Sanders, la directrice des collections, Mme Tomasina Ray, et le directeur du développement commercial, M. Gautham Chandna, ils parlèrent de leur travail de conservation et des nombreux objets dont ils ont la garde.

Nous avons retrouvé une partie de ces informations dans un article de la BBC (les prochaines images proviennent d’ailleurs de cet article parce que nous n’avons pas pensé à prendre des photos pendant la conférence d’avril). 

Comme la montre de Thomas Brown qui fut transmise à sa fille après avoir été retrouvée en 1987, certains des objets qui sont remontés appartiennent à des personnes qui survécurent au naufrage. Si Edith Brown était encore en vie pour recevoir un bien familial, il n’y a aujourd’hui plus personne pour déchiffrer les histoires que nous racontent les objets récupérés et c’est Tomasina Ray et les scientifiques avec qui elle travaille qui sont les voix des disparus. Par exemple, Adolphe Saalfeld (1865-1926) a survécu ; ce chimiste de formation était le président de la Sparks-White&Co. Ltd en Grande-Bretagne et il se rendait aux États-Unis (en 1ère classe, contrairement à ce que dit l’article de la BBC) afin d’essayer d’y commercialiser des parfums – parfums dont les fioles ont été retrouvées parmi le champ de débris en 2000 et dont une des recettes a été recréée depuis. Gage de leur incroyable qualité, le parfum des fioles est toujours odorant. La mallette d’échantillons que Saalfeld laissa derrière lui nous raconte aujourd’hui que son travail était d’une exceptionnelle qualité. Il raconta qu’il avait « suivi le mouvement » et s’était retrouvé évacué sur le canot n° 3, mais il devint insomniaque après la tragédie et quelques imbéciles sans cœur le mirent au banc de la société pour avoir eu l’audace de survivre (parce qu’il était un homme).

Il y a aussi l’alligator. Ne vous demandiez-vous pas ce que cette bête faisait dans le titre et où elle allait apparaître ? L’alligator fut transformé en sac – un sac dont le modèle ressemble à des sacs qui peuvent s’acheter encore aujourd’hui – et sa peau fut donc traitée avec moult produits chimiques… puis acheté par une modiste et couturière, Marian (Mary Ann à son baptême) Ogden, épouse Meanwell (7 décembre 1849-15 avril 1912).

Photo du sac de Marian Meanwell et d’une lettre de recommandation de son ancien logeur

 

Elle avait eu un fils et trois filles. Sa plus jeune fille, Margaret Costin, s’était mariée aux États-Unis ; elle avait deux jeunes enfants et venait de se retrouver veuve. Marian décida d’aller aider sa fille. Marian périt dans le naufrage, mais si son sac n’avait pas été retrouvé et les papiers qu’il contenait sauvés, l’histoire de Marian Meanwell serait incomplète. En effet, la photo d’une femme s’y trouvait :

 

Possible photo d’Ann Dolan, épouse Ogden, mère de Marian Meanwell

Il s’agit peut-être d’une photo de sa mère. Autre document préservé dans son sac, son certificat médical qui garantissait sa bonne santé et l’autorisait à immigrer et il y avait aussi une lettre de son ancien logeur qui déclarait qu’elle était une bonne locataire qui réglait son loyer à l’heure. Un autre document nous apprend un fait qui était inconnu jusqu’alors : Marian Meanwell, tout comme la famille Goodwin, n’avait pas sa réservation sur le Titanic. Elle avait un billet sur le Majestic, mais, n’ayant pas assez de charbon à cause de la grève, il ne put partir et elle fut transférée sur le Titanic.

Sans le travail et la dévotion des équipes de la RMS Titanic, Inc., l’histoire de Marian Meanwell serait restée incomplète. Le souvenir de cette victime est plus précis, grâce à eux – et n’oublions pas l’alligator qui servit de capsule temporelle pour ces précieux documents.

 

Le Titanic, comme nous vous l’avions dit, n’est pas du tout un de nos sujets de recherche, mais, en faisant nos recherches sur lui (le déclencheur fut la série de vidéos de Max Miller sur le sujet, ce qui nous fit aller à la conférence d’avril où l’alligator continua de nous faire nous poser des questions, questions qui avaient commencées avec l’extraordinaire histoire du boulanger la nuit du naufrage) nous avons réalisé qu’il y a encore beaucoup de légendes qui sont présentées comme des vérités. De même, s’il est vrai que les témoignages ne concordent pas tous (pour paraphraser Henri-Irénée Marrou, lors d’un événement important, il y a autant de versions qu’il y a des témoins), il est troublant de constater, alors que la tragédie qui a frappé le Titanic passionne tant de personnes, que rares sont les travaux qui tentent de recueillir un maximum d’informations afin de reconstituer les choses au plus près de la vérité (312 pages avec l’histoire abracadabrante du numéro de la coque et une seule avec la vérité sur le sujet – pour ne citer que cette histoire).

 

Nous avons essayé de creuser afin de vous donner une histoire du Titanic la plus fiable possible.

Si nous trouvons des corrections à faire, nous les ajouterons dans de futurs articles.

L’histoire de l’iceberg est – probablement – bouclée, mais si nous découvrons d’autres histoires aussi fascinantes que celle du boulanger ou de l’alligator, nous viendrons les partager avec vous.

 

 

Sources :

Archbold (Rick), McCauley (Dana), Last Dinner on the Titanic, Weidenfeld & Nicolson, Londres, 1997.

Atlantique, latitude 41° [A Night to Remember] (1958)

https://www.youtube.com/watch?v=JbmHZbTpoDY&list=PLIkaZtzr9JDlFDMpTL3Xyjbuj9I2yvZeI&pp=iAQB

http://www.titanicinquiry.org/BOTInq/BOT01.php

http://aftitanic.free.fr/

https://www.abc.es/archivo/abci-triste-adios-victima-espanola-titanic-esquela-pero-sin-tumba-202004140140_noticia.html

https://www.bbc.com/afrique/articles/clygnylgm0go

https://cherbourg-titanic.com/2011/12/r-m-s-titanic/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Titanic

https://titanic.fandom.com/wiki/

https://www.bateaux.com/article/21512/menu-dernier-dejeuner-titanic-naufrage-vendu-88-000

https://www.bateaux.com/article/21514/naufrage-titanic-vecu-raconte-une-riche-famille-britannique

https://www.bateaux.com/article/21515/revivre-apres-drame-naufrage-titanic

https://www.beauxarts.com/grand-format/une-statue-de-diane-retrouvee-sur-lepave-du-titanic/

http://www.btinternet.com/~dr_paul_lee/ismaysescape.htm

https://www.dailyrecord.co.uk/news/local-news/red-roses-titanic-hero-musician-2560490

https://www.encyclopedia-titanica.org/

https://www.encyclopedia-titanica.org/last-of-the-last.html

http://hdl.loc.gov/loc.pnp/cph.3c21013

http://hdl.loc.gov/loc.pnp/cph.3c25501

https://www.nationalgeographic.fr/histoire/vous-savez-comment-il-a-coule-mais-savez-vous-comment-le-titanic-a-ete-concu

https://www.newschainonline.com/news/titanic-expedition-yields-lost-bronze-statue-and-other-discoveries-418573

https://www.reddit.com/r/titanic/

https://www.reddit.com/r/titanic/comments/1f0u1yg/broken_by_curiosity_the_missteps_of_titanic/?rdt=59646

https://www.titanicbelfast.com

https://www.titanicmuseum.org

https://titanic.superforum.fr/t449-memorial-roger-bricoux-france

http://web.archive.org/web/20041117153609/



[1] : Le film sortit en Grande-Bretagne le 25 juillet 1912 sous le titre A Survivor to the Titanic (La Survivante du Titanic [notre traduction]).

[2] : Cette lettre en anglais, probablement rédigée en décembre 2004 ou janvier 2005, s’adresse à Ballard et le commandant Nargeolet lui reproche un grand nombre d’oublis et d’inexactitudes. Elle est téléchargeable ici

[3] : Il est bien évident que la plupart des victimes ont disparues aujourd’hui, mais en 1996 une expédition trouva une alliance avec la phalange de son propriétaire. Considérant que le reste du squelette se trouvait peut-être dans la vase, os et bague furent remis où ils avaient été trouvés.

[4] : Tulloch fut remplacé à la tête de la RMS Titanic, Inc. par les actionnaires de la société parce qu’ils ne le trouvaient pas assez agressif en affaire. Afin de préserver l’esprit de ce qu’il avait commencé, il les combattit au tribunal.

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